POUMA
De Yaoundé : 135km à 3500 FCFA
De Douala : 125 km à 3500 FCFA
Route bitumée
Hébergement : Auberge 10000 FCFA et 8000 FCFA la nuitée
Comment ne pas se sentir chez soi dans une petite ville accueillante où tout rappelle quelque chose, où rien ne s’efface définitivement. Ville commerçante, implantée sur l’axe lourd Douala-Yaoundé, Pouma est une agglomération qui attire.
Pouma a 24 chefferies du 3e degré.

Pouma est à deux heures de bus, à mi chemin sur l’axe lourd Douala-Yaoundé. Pouma est une petite bourgade, d’environ 3000 âmes . Mais une rue vivante, grouillante, animée par une foule bigarrée et chaleureuse. Au lieu dit « Pouma carrefour », où des bus larguent leurs cargaisons de passagers, des escadrons de moto-taximen sont à l’affut, chevauchant, en terrains conquis, de lourdes machines, de fabrication chinoise. Il est chef-lieu d’un des arrondissements du département de la Sanaga-Maritime et une unité administrative relativement récente.
{{Toponymie}}: La ville tire on nom de « Pouma Mbog len », du nom de l’ancien chef supérieur, dont les descendants règnent jusqu’à présent sur la localité. La ville, dans sa partie sud, donne l’impression d’une réelle prospérité. Le sud de la ville, traversé par l’axe lourd, est caractérisé par une grande activité économique qui se traduit par une très forte concentration de débits de boisson, bistrots et restaurants du terroir où le vin de palme, l’alcool frelaté, et la viande de brousse sont servis à moindre coût.

Du monument de la femme où se dresse une immense stèle à la sous-préfecture, et non loin de l’hôtel de ville, partent trois rues, dont l’ancienne route de Douala, la route de Song Mbengué et la bretelle qui relie l’axe lourd au quartier administratif. Toutes sont goudronnées. En quelques minutes, elles vous mènent d’une extrémité à l’autre de la ville. Dans le périmètre du quartier administratif, la voiture est plutôt rare. Par contre, des motos omniprésentes passent régulièrement, transportant parfois plus de trois passagers à la fois !

Pouma-ville se découpe en quatre quartiers. Le quartier administratif et résidentiel où sont concentrés les services publics, la sous-préfecture, l’hôtel de ville, hôpital, la chefferie, la brigade de gendarmerie, le lycée, la maison de la femme, etc… Le quartier Belle-vie est habité par des éléments d’origines diverses. Le quartier Poto-Poto, n’a rien de spécifique il se situe à la sortie de la ville en allant vers Edéa. Le quartier SNEC, abrite des installations de la Camerounaise des eaux, d’où est pompée sur la Lepso l’eau qui ravitaille la ville. Pouma est assez bien nanti en équipements de base : eau, électricité et logements administratifs ne font pas défaut…

Déjà sept forages ont été réceptionnés dont six financés par le FEICOM et un par ALUCAM.

Située sur l’axe lourd Douala-Yaoundé, notre commune qui est en zone forestière réunit tous les atouts pour être la plaque tournante d’un vaste marché de produits vivriers.
Yaoundé est à 135km de Pouma, Douala à 125km, Kribi à 160km et Edéa à seulement 50km. En plus du barrage de Songloulou qu’abritent les communes de Pouma et Massock, le barrage de Song Mbengue sera également construit sur ces deux communes.
L’arrondissement de Pouma couvre une superficie de 701km² où vivent paisiblement plus 15000 âmes. Cette population est inégalement répartie sur l’ensemble de l’arrondissement entre deux chefferies traditionnelles de deuxième degré : les cantons Bikok et Hende en 24 chefferies traditionnelles de troisième degré. Une route bitumée de 26 km et des routes communales en terre constituent un réseau routier assez dense qui nécessite une extension et un entretien permanent. Il faut également rappeler que la ville de Pouma peuplée d’environ 3000 habitants est traversée par l’axe lourd Yaoundé-Douala. Sociologiquement parlant, Pouma est composé des bassa à plus de 97% et quelques étrangers venus de toutes les régions du Cameroun.La ville de Pouma effectivement est partiellement traversée par la route nationale n°3 communément appelée « axe-lourd Douala-Yaoundé ». Et comme la quasi-totalité des agglomérations ainsi situées, Pouma est très exposé aux problèmes de sécurité les plus divers. La densité du trafic routier sur cet axe est source de nombreux accidents de la circulation, parfois mortels.
Disons qu’une petite délinquance a tendance à s’enraciner à Pouma. Il n’y a pas de gare routière. Cette situation favorise automatiquement la chienlit observée au lieu dit « Pouma carrefour » lequel carrefour se caractérise par l’encombrement de la chaussée, les stationnements abusifs et l’incurie des rabatteurs.
Cependant, le centre commercial de Pouma, au lieu dit « carrefour Pouma » a son côté positif. Cet espace, en attendant l’inauguration du grand marché, est devenu au fil des ans un important pôle d’activités économiques. Le petit commerce y est florissant, les restaurants et autres établissements de tourisme y ont vu le jour, l’écoulement des produits agricoles vers les villes voisines, notamment, Yaoundé et Douala se déroule de manière satisfaisante.
TRADEX, Société de Trading et d’Exportation de pétrole brut et des produits pétroliers, a procédé vendredi 12 février 2010 à l’ouverture de sa 1ère station-service dans la ville de Pouma C’est la toute première station-service de l’arrondissement. Jusqu’ici, les populations devaient aller à Edéa à près de 50 km pour se ravitailler en carburants. La nouvelle station-service TRADEX de POUMA offre les services traditionnels de vente de super, gasoil, pétrole, gaz et lubrifiants. Les clients peuvent également se ravitailler en produits alimentaires dans la boutique de la station service.

{{Ressources humaines}}
Yomba Josué, DG de l’autorité portuaire national
M. Perrial Jean NYODOG, Directeur Général de TRADEX
Mbayem Réné, DG de Camship,
Colonel retraité Nyemeck Bisseck, ancien Maire de Pouma
M. YINDA Louis, Directeur Général de SOSUCAM ;
Le Général Youmba
Mbappé Penda, PAD